jeudi 14 février 2013

OWAH YAH RHO THAN

Une vidéo. Une minute. Un rythme. Une coloc' chinoise. Une histoire. Une phrase difficile à prononcer. Un sens inconnu? Une cuisine verte. Une soupe dans un mug Buzz l'éclair.



VOUS AVEZ UN CHOIX A FAIRE.

Voilà! Enfin mises en ligne!
voici deux vidéos réalisées sur le même thème ma vision non objective de la chose ne me permet pas de choisir entre les deux. Quelle est la meilleure? Ou plutôt laquelle est la moins pire j'aimerais votre avis! 

==> pour cela: cliquez sur le lien de l'une des deux vidéos, votre préférée tant qu'à faire, et mettre un "j'aime" oui, hélas, seule solution, ou sinon de laisser un commentaire (de mieux en mieux!) avec votre choix et si vous le souhaitez des suggestions.

merci d'avance!

lundi 4 février 2013

Les trois saisons urbaines

Projet sur le détournement d'un objet issu du mobilier urbain (propriété non-personnelle).
Le choix s'est porté sur le feu tricolore, objet fascinant et très esthétique que j'ai choisi de démultiplier pour créer une accumulation, une forêt de feux tricolores.  Ce feu ici prend donc une forme d'arbre symbolique dans cette forêt urbaine, artificielle. Tous ces feux sont tournés dans la même direction et sont synchronisés. J'ai voulu montrer par cette installation le fait que la nature dans la ville n'existe plus. 
En effet, s'il y a soixante ans on trouvait encore dans les villes des rues en chemin de terre, des espace verts naturels entre les maisons, bâtiments, commerces, aujourd'hui toute cette nature a totalement disparue. 
Cela ne nous empêche pas de voir par endroits des espaces verts "réintroduits" dans l'espace urbain, on déracine des arbres de la campagne pour les replanter dans un carré de terre au milieu de l'asphalte, on replante des parterres de fleurs, le jeu étant de gagner le prix de la ville la plus fleurie ou en core de la ville ayant le plus d'espaces verts, cependant tous ceux-ci sont complètement artificiels.
Cette forêt tricolore serait donc à l'image des villes modernes, avec seulement trois saisons, pour rappeler que ce n'est qu'un artéfact de l'homme.